Une décision influencée a apporté le marché des moteurs britanniques à Greenwich, au sud de Londres, à la veille du salon de Francfort. C’est alors une honte qui pleure, le public n’a pas été informé de l’exposition de la Tamise. Le réglage était correct, la condition météorologique était meilleure et les véhicules étaient corrects.
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Je m’inquiète que l’existence d’un ministre du gouvernement, Sajid Javid, ait peut-être transformé ce qui pourrait tout aussi bien avoir été une bonne fête de véhicule pour tous en une opération inutilement à sécurité pour un gars ainsi que son limousine ministériel.
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Le secrétaire de la compagnie semblait hors de sa profondeur et indiquait presque rien pendant son «discours» officiel désespérément court, qui a démontré exactement à quel point les politiciens britanniques sont hors de contact avec l’une de nos industries productrices essentielles et les plus importantes.
Ceux d’entre nous présents ont été soumis à ses opinions non pertinentes sur un programme télévisé spécifique ainsi qu’à son ancien présentateur. Pourtant, ce que nous avons souhaité et mérité, c’est, par exemple, sa gestion du numéro croissant des producteurs britanniques produisant de nouvelles plantes ainsi que des tâches à l’étranger au lieu d’ici.
Le cadre officiel de son département est que «les entreprises doivent prendre leurs propres décisions industrielles». En d’autres termes, la porte est laissée ouverte aux constructeurs automobiles qui se sont généralement développés en Grande-Bretagne pour découvrir des terres moins chères, des entrepreneurs ainsi que des travailleurs des véhicules à l’étranger. Ainsi qu’ils le feront … c’est inquiétant.
Sur une note plus lumineuse, nous pouvons être heureux des 10 nouveaux Brits sur scène: l’Aston Martin Rapide (construit à Gaydon), Bentley Flying Spur (Crewe), Honda Civic Type R (Swindon), Jaguar XF (Castle Bromwich), Variété Rover (Solihull), Small Clubman (Cowley), Nissan Qashqai (Sunderland), Rolls-Royce Dawn (Goodwood), Toyota Auris Hybrid Touring Sports (Burnaston) ainsi que Vauxhall Astra (port d’Ellesmere). Cependant, la vérité reste que chacune de ces marques «britanniques» est désormais détenue à l’étranger.
Peut-être que cela explique pourquoi lorsque ces véhicules sont apparus à Greenwich, ils l’ont fait dans un contexte de la moitié d’un Jack Union. grosse erreur. Aucune autre nation ne tenterait d’écran à seulement 50% de son drapeau lors de la promotion de ses produits – ou en croyait, autre chose. Alors pourquoi la Grande-Bretagne tombe dans ce piège (voir www.gov.uk/britainisgreat) me dépasse.
Heureusement, le salon de l’automobile à tous les londoniens frappe une partie de plus de la capitale, Battersea, dans les sept mois. S’attendre à survoler fièrement l’événement sera un Union Jack entier.
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